lundi 23 juillet 2018

Arrête de ramer, tu attaques la falaise !


  Titre très subtile pour annoncer l'arrivée de la 2ème partie du tuto sur la transformation d'une galère Playmobil pour le 28mm. Bien sûr, il n'y a pas que cela dans cette édition. Chacun y trouvera son compte. Enfin j'espère. Ensuite je vous quitte pour deux semaines car je pars en vacances pour me ressourcer et faire le plein de vitamines. Toujours utile, même si l'on vit dans la campagne française toute l'année.



LA GALERE DU RE-ANIMATOR (2ème partie)

  On ne perd pas de temps et on remonte à bord pour finir le travail sur l'embarcation . La proue et la poupe sont arrivées à terme. Les rames sont terminées et placées sur les bancs de rames pour tester le rendu. Et c'est le drame ! Elles sont trop inclinées. Enfer et damnation ! Après une longue réflexion. Environ 4,5 secondes. Je dois me soumettre à l'évidence ; Il faut refaire tous les trous de rames pour redonner un bon angle. Ouaiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiin ! Comme dirait Bruce Tanner, je suis Vert ! La phase la plus chiante de l'opération est à recommencer .
  Le Ré-animator plein d'abnégation se colle à la tâche. Je bouche tous les trous avec de l'enduit et recommence le perçage méticuleux de mes 40 trous. J'en profite pour les faire moins profonds car j'avais quelques rames qui partaient trop loin dans la coque et n'étaient plus à distance égale des autres et cela nuisait à l'alignement des rames.
 Une fois terminé, je ponce l'ensemble à la meuleuse d'angle (disque abrasif léger) afin d'égaliser le tout. Quelle belle invention cet outil.


Test des rames sur leurs supports.











 La proue, la poupe, le banc de rames et le pont sont passés à la meuleuse d'angle avec un disque abrasif. On uniformise la partie bois avec la partie plastique. Le collage se fait avec la cartouche collage à bois. Ce qui permet de faire les joints entre le pont et les deux éléments proue-poupe.

Détail de la proue.

Jointage de la poupe avec la coque.

Détail de la poupe.
  Maintenant que les éléments sont assemblés, il est temps de passer à l'habillage de la galère. Commençons par le bastingage. On part de celui d'origine (voir article précédent : Et vogue la galère). Comme certains montant sont creux, nous allons en profiter pour y glisser des tiges de métal qui serviront de point d'encrage dans le pont. Ces tiges sont des baguettes de soudure. C'et plus gros en diamètre que mes classiques trombones de bureau et plus résistant.


  On bouche les trous avec la colle de contact pour meuble (style Nis vis Ni clous) et on colle le tout avec la même colle. On en profite pour faire les joints avec le surplus qui sort en dessous des bastingages lorsque l'on a appuyé dessus pour les fixer. Avec le doigt, comme il se doit avec les joints.

Mise en place.
Voilà ce que cela donne. Que c'est bOoooo !
  On a la coque, on a les rames mais on peut pas bouger une galère sans mât et sans gouvernail. La dernière étape de la construction s'engage donc dans l'allégresse pour le Ré-Animator. On touche au but !
  Les gouvernails sont aussi des pics à cocktail mais de grande taille, que l'on trouve souvent dans certaines brochettes pour barbecue. Comme les rames, les gouvernails sont sculptés au tour à meuler. Puis fixés par des liens de fleuriste en métal à un bout de pic classique à barbecue. Cela représente les barres des pilotes de la galère. La fixation de coque est réalisé avec un pic à cocktail percé (à la perceuse). Le tout est collé fermement après montage pour des questions de facilité d'assemblage. La fixation médiane est un simple trombone recourbé sur lui même. Il évite que l'ensemble soit trop faible et permet un ancrage directement sur la poupe.



Le détail du point d'ancrage sur la coque.


Gouvernail en position.

  Passons au mât. Il était creux et semi circulaire. Je ne sais pas pourquoi Playmobil est parti sur cette option mais on s'en fout car ici on est pas chez mémé. Ici c'est le royaume de la débrouille et du système D. On chez le El Sublimo de la construction navale à moindre coût.
  La base du mât reçoit un lien de fleuriste (papier et fil de fer) pour simuler le cordage d'ancrage du mât. La colle de montage sert une fois de plus à boucher le creux et à recouvrir le polystyrène extrudé placé à l'intérieur. La meuleuse d'angle est passée pour "arrondir" un peu plus le mât.





La base du mât et son "cordage".
  Maintenant que le mât est prêt, il faut pense à la voilure. Comme un con, j'ai oublié que j'avais le support d'origine et je me suis empressé d'en fabrique un avec un pic à barbecue. Et oui, le Ré-Animator peut être con mais seulement quand il le veut bien. J'ai retrouvé la pièce une fois que toute l'opération était terminée. Loi de Murphy oblige.

Et voilà !


Détail de la fixation du mât.
  Manque plus que la voile. Pour ne pas me faire chier, je choisi l'option "voile au repos". C'est plus facile à faire et à peindre. Elle sera faite avec du mouchoir papier enroulé et fixé avec des liens en fil de fer. Comme sur mon bateau à fond plat pour l'Ouest américain, le Keelboat.
  Le mouchoir est juste à la bonne taille. Je l'enroule sur lui même à l'aide d'une baguette. Que je retire en fin de parcours pour fixer les liens d'amarrages de la voile. Vous noterez que je ne me casse le tronc avec les termes de marine mais ce n'est pas le sujet. Les fils de fer étant plus long, c'est pour permettre de les enrouler autour du support du mât de la voilure. On  consolide avec de la super glue sur tous les liens fil de fer. Le vernis colle est enduit sur la voile afin de la durcir et la solidifier.



La voile enroulée, prête à être fixée sur son mât.


Le mât terminé.
  Nous avons terminé le puzzle et toutes les pièces peuvent être assemblées pour nous donner une bien belle galère. A noter que cette galère est plus un élément de terrain qu'un modèle réduit. Le but est de pouvoir jouer dessus avec les figurines sans être gêné par des détails inutiles sur le navire. Priorité au côté pratique tout en essayant d'avoir un rendu potable.  Je vous laisse admirer le résultat. J'en suis fort content et cela me donne beaucoup de bonnes idées pour d'autres transformations sur bateaux Playmobils.










Merci qui ?
Merci Playmobil !

PROJET VACANCES - Highway to HEL.

  Le bien nommé puisque nous sommes en plein dans la période estivale, même si votre serviteur n'est pas encore en vacances, lui ! Le mythique nordique était le thème de ce début d'armée pour OGAM avec l'originalité d'avoir choisi une divinité peu connue : Hel (Hitler ? ahahahah que je suis drôle).
  La règle propose de faire une armée de 900 pts avec 1/3 de Dieu, 1/3 de Légendes et 1/3 de Mortels. Mais il est fort possible de monter le budget afin d'avoir un peu plus de mortels pour varier les plaisirs et offrir un jeu un peu plus long. Sachant qu'un dieu coûte dans les 250/300 pts, je crois que si l'on prend un budget de 1200 pts, on peut répartir les points de la façon suivante : 350pts  maxi en dieu, 350 pts maxi en Légendes et le reste en Mortels.
  Le dieu est donc choisit ; Ce sera la déesse des morts, HEL (célèbre chanson des Beatles d'ailleurs : HEL, I need somebody, Hel, not just anybody Hel etc...quel humour, ce Ré-Animator).



Voici la déesse de l'enfer, après l'action !

  Pour les Légendes, je n'ai pas encore vu ce qui pourrait me plaire dans la liste. Fenrir, le loup géant,  et Jormungand, le serpent de mer, sont les frères (ou soeurs ?) de HEL. Avec des noms pareils, on va devoir prend un rendez-vous chez l'orthophoniste pour améliorer notre conversation sur la mythologie viking. Mais cette fratrie m'arrange car le hasard fait que j'ai déjà des figurines finies de Loup géant et de serpent de Mer. Je suis vraiment TROP FORT. Répétez plusieurs fois cette phrase avant de partir au boulot le matin et vous verrez. Cela vous fera du bien. Même si votre hiérarchie n'en a rien à foutre. Au moins vous. Vous êtes au courant.

  Pour le loup géant, je vais partir sur une base de loup de Wh40k. J'en ai 3 en stock racheté à vil prix lors d'un tournoi. On dégraisse le stock et cela coûte quasi rien. il n'est pas gigantesque mais cela suffisant à côté d'un 28mm. Il sera soclé en hauteur sur un rocher et en pleine action. Slurps !



  Pour le serpent de mer, Jormungand, je suis parti sur la base d'un dragon de mer de chez Plastoy. Cette conversion a été faite il y a au moins 10 ans. Je vais seulement me contenter de réactualisé le soclage. Les bras ont été éliminés et le corps a été tronçonné afin de donner un mouvement du corps permettant de bien représenter l'ondulation des serpent de mer (mythique ou non).

Déjà comme cela je le trouve pas mal du tout.
  Les bras ont été remplacé par des nageoires prélevée sur le corps à un endroit non utilisé. On bouche ainsi intelligemment les deux trous.








Vue de haut, on peut remarquer le travail d'animation.
  Je n'ai rajouté aucune partie du corps. Tous les morceaux proviennent du même bestiaux. C'est l'angle des découpes qui donnent le mouvement. C'est là où le Ré-Animator peut vous faire admirer toute la maîtrise de son art. El Sublimo est d'ailleurs mon surnom d'usage. C'était la minute modestie...
  Les bras d'origine sont remplacés par des nageoires prélevées sur une zone du corps non exploitée pour la transformation.
  Le socle est revus pour ajouter des remous dans l'eau avec cet autre outil merveilleux qu'est le pistolet à colle. On obtient ceci :





  Pour les Mortels (et ceux qui font office de mortels), j'ai aussi les figurines. C'est pas magnifique ! Seuls, me manque les morts-vivants, car ils sont obligatoirement présent dans une armée conduite par la déesse Hel.

Mes vikings, qui sont normalement des germains Black Tree Design.
Qui sont prévus aussi pour être des Saxons.
  J'ai commencé les morts-vivants mais ce sera pour plus tard. Faut pas trop abuser des bonnes choses...

  En lecture rapide sur le sujet de la mythologie Nordique et pour s'y retrouver un peu plus, pensez à consulter ce livre "Les 100 Légendes de la mythologie nordique" (ebook Collection Que sais-je). C'est juste assez pour y voir clair ! Sinon, vous avez Wikipedia.

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  Bon, on va se quitter ici car j'ai mes bagages à préparer et maintenant que je viens de prendre un an de plus dans la gueule (53 ans ! déjà !) .  Je fais les choses à mon rythme. Mais pour l'instant laissons l'armée belge défilé en mon honneur.



  C'est l'avantage d'être né le jour de la fête nationale. D'autant que je suis né du bon côté de la frontière.....celui des champions du Moooooooooooooooooooonde de foot ! Mais restons Courtois avec nos amis belges. Que je suis drôle, une fois.

On parlera de réalisme à la française.


  



lundi 2 juillet 2018

Et vogue la galère !



  Après ce début de printemps fort orageux, on pouvait s'attendre à une météo plus clémente. J'ai pas demandé la canicule non plus ! Mais quoiqu'il arrive, cela ne va pas arrêter les activités du Ré-Animator. 

  Et on commence avec le tuto ! Un gros tuto car il va s'étaler dans le temps mais certaines opérations sont chronophages à cause du temps de séchage et d'organisation du travail.


LA GALERE DU RE-ANIMATOR (1ère partie)

  Et non, je ne vais pas vous raconter mes aventures nautiques, je vais seulement vous faire bénéficier du suivi de ce projet de réabilitation d'une galère Playmobil pour le 28mm et mon projet Rome.
 Cette fois, on passe au stade supérieur avec un nouveau défit que se lance votre humble serviteur : Ajouter un élément de décor qui en jette pour le Projet Rome. Que je devrais d'ailleurs renommer en "Projet Ostie" mais cela fait moins accrocheur comme titre. Mais pourquoi le rebaptiser ? Et bien parce que je pense ajouter des quais et des entrepôts pour le projet, et surtout une galère !
  Oui vous avez bien vu et bien lu. J'ai enfin franchi le pas, en achetant à vil prix, un reste de galère Playmobil en braderie. Pour un coût de 5 euros, je suis devenu armateur. D'accord, la galère n'est pas complète mais elle possède exactement les éléments qui me fallait pour en faire une pièce centrale de mon projet en 28mm.

  Voici les photos du navire, acheté en l'état :

C'est pas cher et cela va rapporter gros......en visuel.

  Les éléments de comparaison avec le 28mm. Ici avec un gladiateur de chez Foundry qui sert de référence car je n'ai pas retrouvé Lucius au moment de prendre la photo.





La proue.

La poupe.

Le pont et la proue.
Comparaison ultime avec la proue.

 Démontage et découpage

  C'est vite fait chez Playmobil. Je démonte tout pour voir ce qu'il faut garder ou virer en fonction de l'échelle 28mm. Le plastique utilisé par la firme allemande est de très bonne qualité. Comme on dit chez VW, "Deutch Qualität" ! Je vire les autocollants, qui eux aussi sont de bonne qualité. Ils s'enlèvent bien et ne se déchirent pas.

La coque, remplie de tartre car le gosse qui me l'a vendu devait
prendre son bain avec. D'où le manque de certaines pièces...
Le pont

  Les quelques ergots purement Playmobil sont éliminés. Avec une simple spatule et un marteau. Le support de la grille de la cale reçoit le même traitement. Ainsi, les figurines pourront marcher dessus car, je le surbaisse. La grille est découpée en deux morceaux et replacée sur la nouvelle trappe.

La nouvelle trappe.

Travaux sur la proue et sur la poupe

  J'ai opté pour la solution "remplir la zone" plutôt que de m'attaquer à la sculpture du plastique au pyrograveur pour représenter des planches. Le collage de shakers/mélangeurs de cocktail est une bonne solution. Cela ne demande qu'un peu de patiente car il faut attendre parfois que certaines sections soient sec pour continuer le travail. Donc je travaille sur autre chose pendant ce temps là. Rentabilité et efficacité !

On colle et on presse pour le séchage.
  Le plancher est en balsa (que j'avais en stock). De la réglette de décoration est ajouté pour fermer la partie avant. La meuleuse sera passé pour égaliser le revêtement et suivre le léger effet galbé de la proue. Idem sur la poupe.

La proue terminée, y compris le pont.

Travail en cours sur la poupe.

Sous un autre angle.

Travaux sur la coque

  Comme j'ai un reste de galère, je n'ai pas les bancs de rames. Donc je vais devoir me les taper à la main. Deux baguettes de bois feront l'affaire. Elles sont meulées (à la disqueuse avec un disque abrasif) de façon à suivre la courbe de la coque. Dans le même esprit, j'arrondi un côté de chaque baguette avec la disqueuse. En gros, il faut faire sauter arrondir un angle de la baguette sur toute sa longueur. C'est la que l'on percera les trous pour les rames.

Chaque banc de rames sera solidement fixé à la coque.
  Je sors l'artillerie lourde avec la colle à bois de contact en cartouche. La colle plus la pression exercée donne de la solidité à l'ensemble. J'en rajoute une louche avec des vis placées à l'intérieur de la coque afin de compenser la courbure de la coque qui inflige une poussée opposée sur les baguettes de bois. Le tout est colmaté avec la colle de contact qui vient boucher les fissures, les fentes et autres trous. Cette colle servira ainsi tout de "bouche trous" pour le processus de montage.


La coque avec ses deux bancs de rames.
  Vous remarquerez les empreintes faites sur le bois tendre par les serres-joints. Ce n'est pas grave car, les bancs de rames seront recouverts par des shakers/mélangeurs en bois. On masquera ainsi les imperfections du bois et cela fera une bonne liaison avec le pont d'origine.

Fixation maximum avec des petits vis à bois.
    Habillage des bans de rames avec les shakers/mélangeurs à cocktails. Le côté du banc de rame est habillé avec une réglette de finition. Elle a une forme qui donnera un look "moins angulaire" à notre banc de rames. Une fois que tout est bien sec, je ressort la disqueuse pour poncer légèrement l'ensemble afin d'uniformiser le collage et tout ce qui pourrait dépasser. Certains shakers ne sont pas très droit et la colle est parfois peu adhérente. On rebouche aussi tous les espaces dans le plancher.


Vue générale du rendu des bancs de rames (non terminés).

Vue d'en haut des bancs de rames. La finition avec le pont n'est pas encore faite.
Détail de la proue.
Détail des jonctions qui seront  rebouchées et poncées.
  On passe ensuite au perçage des trous en gardant un axe incliné pour les rames touchent la surface de l'eau dans le bon angle. Les trous sont alternés avec la rangée du bas afin de faciliter le montage et le rendu.

Perçage en masse des trous de rames.

Entracte

  En attendant que les pièces sèches, je m'occupe en préparant les rambardes du pont. JE veux absolument garder le look typiquement romain mais comme il est à la taille des Playmobil, j'ai une solution de chox. Séparer la partie que je veux du reste. En deux coups de scie, la séparation se fait facilement. Le plastique étant d'excellente qualité, l'opération est assez simple. Il suffit de bien viser pour ne par endommager les croisillons.

Le Ré-Animator n'utilise pas du matériel léger de modélisme.

Les rames

  Pour une galère de base il faut trouver un certain nombres de rames. Dans le cas qui nous occupe, j'en compte au moins 20 par bord, donc 40 en tout. Et oui, le Ré-Animator sait compter et en plus il a tous les diplômes pour ! Enfin, bref. Comment faire 40 rames sans se ruiner. Une fois de plus les pick à cocktails vont nous sauver. Cette fois-ci dans le genre

Le matos est de plus en plus "lourd".


Le Avant et Après !
  Pour arriver à un beau résultat comme cela, j'ai sorti le matériel encore plus lourd ! Le tour à meuler. Qui évitera de se flinguer la main avec la meuleuse d'angle. En plus, cela permet d'utiliser les deux mains et d'obtenir un meilleur résultat même si la pierre à meuler n'est pas faite pour ça.

Et ça ? C'est pas du matériel de perlouze ? Hein !

Test de placement de la première rame.


Réglage de la taille de la rame par rapport à son position sur le banc de rames.


Et le reste ?

  Et bien, cela avance à son rythme. J'ai retrouvé une bestiole qui me servira de Sanglier géant pour la Fantasy (OGAM) et la chasse aux animaux préhistoriques (PALAEO DIET).  C'est du Schleich acheté à Action  (pour moins de 4 euros) avec une figurine qui deviendra un géant Celtique, après un petit relooking. Pour le sanglier, je n'ai même pas eu à le peindre car la qualité était au rendez-vous. J'ai seulement passer de l'ombrage dessus.



et sa version préhistorique


Pour avoir une idée du bestiau. Et ce n'est pas le plus grand !

PROJET VACANCES
  Tient en parlant de la règle "Of The God and Mortals" (système Ganesha), j'ai commencé des transformations pour une armée Nordique. Mais comme je ne voulais pas avoir un dieu classique comme Thor ou Odin. J'ai perdu du temps à trouvé une figurine originale pour représenter la déesse du royaume des morts, Hel ! Avec la particularité d'avoir la moitié du corps décharnée (comme un zombie) et l'autre normale. Je vous en parlerai la prochaine fois, si vous êtes sages.

En Reaper Bones, la figurine fait 80mm.

    Et voici un échantillon de transformations sur des "morts-vivants". L'armée doit contenir au moins une unité de ces petits gars. J'avoue que ce fut très dur d'arriver à un tel degrés de technicité pour  réaliser cette pièce.

Le plastique, c'est fantastique ! Et facile à transformer.


   Question lecture, j'arrive au bout de ma dernière saga romaine "The forgotten Legion". Et maintenant, je vais devoir me trouver de quoi lire pour l'été ...en bronzant sur la plage.
  Ou en regardant la chaine youtube avec cette brave jeune fille, Naomi Wu, qui explique comment faire avec de la haute technologie (Imprimante 3D Photon anacubic).





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  En cette période de coupe du monde football, nous vivons aux rythmes des matches car à la maison, le fiston est pro-football. Et la petite aussi ! Je suis cerné par les sportifs ! Heureusement, il nous reste la bière et les chips.

Allez France ! Euh....là, il faut que j'arrête la Jupiler !